Le métier de VTC n’est pas souvent rose, certaines sociétés imposent des conditions peu supportables pour certains professionnels. C’est d’ailleurs pour cette raison que plusieurs chauffeurs et syndicats ont commencé à se révolter face à certaines grandes sociétés de transport pour VTC telles qu’Uber. Notamment pour la simple raison que la commission de 20 % d’Uber a été révisée à la hausse pour en arriver à 25 % au grand malheur des chauffeurs professionnel.
Les commissions en hausse
Cette commission qu’elle prélève sur les courses des chauffeurs est donc devenue un réel handicap pour ces derniers pour qu’ils en arrivent enfin à entamer un mouvement de grève à l’encontre du géant de voiture de transport avec chauffeur.
De ce fait, les autorités compétentes, à savoir ceux du ministère du Transport français, ont convoqué tous les responsables de plateformes VTC œuvrant dans le pays pour trouver un consensus avec les représentants des chauffeurs professionnels. On notera entre autres des syndicats français tels que Capa-VTC, UNSA-VTC et Actif-VTC, mais aussi d’autres représentants comptant encore une bonne dizaine d’associations.
Choisir la bonne stratégie pour les VTC
Ainsi, le statut de chauffeur VTC s’avère être un métier comme un autre et qu’il serait plus judicieux de peser le pour et le contre avant de définir sa méthode de travail et d’acquisition des clients.
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