Chauffeur VTC : un métier qui séduit à Toulouse

Faire passer de 12 000 à 70 000 le nombre de chauffeurs de VTC en France, c’est l’ambition des dirigeants des grandes compagnies de VTC. Toulouse ne compte qu’une centaine de VTC, pourtant, le métier séduit de plus en plus de personnes.

Les modalités pour devenir chauffeur de VTC

Certaines barrières financières et administratives peuvent être contraignantes. En effet, passer du statut de salarié au statut d’auto-entrepreneur demande d’effectuer des démarches compliquées. “A moins de s’entourer d’experts et de conseillers, les procédures ne sont pas faciles à appréhender “, assure Aziz Azougah venu participer à cette conférence Uber en plein centre de Toulouse pour obtenir plus de renseignements et peut-être se lancer. Comme lui, ils étaient une cinquantaine de candidats potentiels. La formation ainsi que l’achat ou la location de la voiture représentent un coût important. 1500 euros pour la formation et plus de 10 000 euros pour la voiture.

De plus en plus de personnes séduites par le métier

Contrairement aux idées reçues, l’activité de chauffeur de VTC est exercée la plupart du temps à titre principal et à temps plein. Souvent, il ne s’agit pas de personnes voulant seulement arrondir les fins de mois, mais plutôt de chômeurs de longue durée ou de personnes en reconversion professionnelle, qui voient dans le métier de chauffeur VTC une solution de retour à l’emploi.

Chauffeur de VTC est un métier qui attire dans la mesure où il permet un aménagement des horaires et une certaine flexibilité. Le métier permet également d’être son propre patron.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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